Regard sur Soies
Rue
des Scribes Éditions, 2000
Préface de Jean-Claude Dreyfus
112 pages,
57 photographies,
format 29 x 29
[Commander
l'ouvrage]
“ Pendant plusieurs années, Michèle Le Braz a étudié, observé le comportement du cochon dans l’obscurité des soues, la promiscuité des élevages industriels, ou la transparence de la liberté. Elle nous parle de tolérance et d’ostracisme, d’asservissement et de libération.
Le cochon est présenté, ici, comme l’allégorie du don de soi, non pas comme la métaphore du vice.
Les thèmes de la solitude et de l’abandon apparaissent sans cesse en filigrane dans l’œuvre de cette photographe humaniste. ”
“L’abandon la fascine, l’obsède,
lui fait peur.”
Muriel Estrade — janvier 2000
Revue de presse
“ Michèle Le Braz, qui est une grande photographe, vit en Bretagne. Elle en aime la sauvagerie et la mélancolie … Allez savoir comment, elle réussit la prouesse artistique de donner au goret une humanité inédite, de lui prêter une tristesse parfois insoutenable. Ses photographies en noir et blanc sont médiumniques. In verrat veritas. ”
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur — janvier 2001
“ En noir et blanc, utilisant des cadrages subtils, elle fait preuve d’une sensibilité et d’une poésie qui ne laissent pas indifférent…”
Réponses Photo — janvier 2001
“ Michèle Le Braz poursuit à travers la parabole animale sa quête humaniste et réussit la prouesse artistique de donner au cochon une dignité et une tristesse à la limite du soutenable.
… elle va entrer dans un face à face terrible avec les cochons comme on entrerait pour la première fois en contact avec les camps de la mort ... elle réalise des portraits fragiles comme des porcelaines, des images complexes et ambiguës où se mêlent souffrance et drôlerie, des compositions et des cadrages faisant apparaître solitude et désespoir ”
Albertina Locks, Photo Nouvelles — février-mars 2001
“ Regard insolite, sans sensationnalisme, déroutant et terriblement sensible, trop dérangeant pour certains … ”
Yaël Azenor, Le Télégramme — mars 2001
“Des images sensuelles et tendres, parlant d’enfermement, d’obscurité, de tragédie et de ... comédie humaine.”
Yolaine de La Bigne, L’Express — avril 2001